Je ne veux plus sentir mon ventre
Secouer ses quelques organes
Pour me faire chanter plus fort
Les borborygmes idoines
Et les mouvements incessants
Et les contractions brûlantes
Par le défaut d'attraction
Des assiettes qui m'alimentent
Les assiettes creusent plus loin
Dans les recoins de mes viscères
En me ployant genou à terre
Sous un monticule de vide
Mes organes restent turbides
Depuis mon dernier repas qui
Aurait pu nourrir la moitié
D'un petit grain de poussière
Mon ventre soupire sa faim
Comme un poison que je respire
Le son me taillade et mes mains
Entrent en contact pour le pire
Elles veulent chasser le mal
Par un croyance médicale
Celle où la faim laisse sa place
Au silence du katana
WordPress:
J’aime chargement…
Articles similaires
Publié par Tchev
La seule chose que j'aime dans les livres, c'est la ponctuati;;//
Voir tous les articles par Tchev