À mon corps solitaire
Qui flotte entre les vagues
Je ne touche plus terre
Je vole sur les algues
Dérivant loin du bord
De la mer acharnée
Sur laquelle je me
Trouve rasséréné
Car partant de la mort
Installé au ponton
Et le coton brumeux
M'entoure de son charme
Et le joyeux vacarme
Des sirènes se fond
Dans mes oreilles chaudes
Où entre l'eau salée
Quand je penche la tête
Pour goûter les abysses
Les épaves des conquêtes
Les montagnes de lapis
Les sirènes me suivent
Des beautés attractives
Et leur chant envoûtant
S'introduit dans mon cœur
Je ne suis plus que peur
À la recherche des cris
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Publié par Tchev
La seule chose que j'aime dans les livres, c'est la ponctuati;;//
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Un sacré monde celui des sirènes, un imaginaire occidental, masculin ?
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Votre commentaire est très intéressant, je ne me suis jamais interrogé sur l’origine de ce mythe, avez-vous des ressources par rapport à ça ?
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Oui, ici la femme est la fois tentatrice , séductrice, belle et danger mortel, une suite d’Eve, et de Pandora. Représentation très vive jusqu’au XIXe siècle avec la femme fatale. Objet de peur et de désir, mais objet. Toutefois le mythe apporte des caractéristiques propres car les ondins existent également. Dans son aspect le plus positif, elle est une femme libre et fascinante donc qui ne peut jamais être possédée. Beaucoup d’images se mélangent du mythe au folklore populaire.
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