Sur la verdure je m’allonge
Au pied de la nuit noire d’étoiles
J’arrive à contre sens et songe
À reproduire cette toile
Je me place pour constater
L’étendue du rêve. Le temps
Ne dure plus qu’un instant
Et voyage dans la Voie lactée
Je contemple le spectacle
Des vitesses invisibles
Des lumières perceptibles
Mon œil repère un corps
Qui laisse une traînée d’or
Mes yeux clos : je fais un vœu
Je me dis qu’Einstein nous a donné une autre vision du temps qui, au final, est plus proche de la poésie. Ce que l’on ressen
t là.
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Nous ne sommes que des petits promeneurs navigant sur une minuscule planète, perdue au milieu de l’immense univers. Cette situation nourrit le rêve, et nous pousse à imaginer le temps dans une nouvelle dimension : celle de la poésie !
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C’est magnifiquement dit. C’est ce que je ressens aussi.
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